Neuromedia

Infolettre d’octobre 2021

Et si le foie était à l’origine de la maladie d’Alzheimer ?

Le passage dans le sang de protéines toxiques du foie vers le cerveau serait en partie à l’origine de la maladie d’Alzheimer, selon des scientifiques australiens de l’Université Curtin qui ont mené des travaux sur des souris. Suite sur le site de Radio-Canada

L’hyperactivité et la maladie d’Alzheimer ont-ils des points communs ?

Une équipe de chercheurs suisses vient de rapporter une association entre le TDAH et la maladie d’Alzheimer, en étudiant une cohorte de plus de deux millions de personnes liées à leurs parents biologiques.

L’hypothèse d’une hérédité commune a été avancée, bien qu’aucune mutation génétique n’ait été mise en évidence. Suite sur le site de Futura sciences

Alzheimer : l’irrigation du cerveau en cause ?

La fuite vers le cerveau de particules porteuses de graisse transportant des protéines toxiques serait une cause possible d’Alzheimer. Ces petites particules transportant les graisses dans le sang – appelées lipoprotéines -ameneraient les protéines toxiques (protéines amyloïde) dans le cerveau. Suite

Maladie de Parkinson : les techniques pour mieux marcher

Selon une récente étude, il existe sept stratégies différentes améliorant les troubles de la marche chez les personnes atteintes de la maladie de Parkinson.

Cette étude propose une approche personnalisée aux malades dans le cadre de leur rééducation de la marche. Cette étude a porté sur 4324 personnes atteintes de la maladie de Parkinson et souffrant de troubles de la marche invalidants. Suite

Une application québécoise pour prévenir la maladie d’Alzheimer

Jusqu’à 40 % des cas d’alzheimer seraient attribuables à des facteurs de risque modifiables entre 45 et 70 ans. C’est pourquoi Lucilab – une jeune entreprise montréalaise – a créé l’application Luci, destinée à prévenir le déclin cognitif par l’adoption de saines habitudes de vie.

La Dre Sylvie Belleville, neuropsychologue et présidente du comité scientifique de Lucilab, explique que s’il est encore impossible de détecter la maladie quand elle se développe insidieusement dans le cerveau, il est possible en revanche de modifier ses facteurs de risque qui sont déjà identifiés. Suite

AVC : des symptômes d’alerte jusqu’à 10 ans avant l’accident

Certains signes d’alerte pourraient contribuer à identifier précocément les personnes ayant des facteurs de risque importants. L’accident vasculaire cérébral survient de manière soudaine sans signes précurseurs majeurs. Il s’agit d’une urgence médicale absolue. Suite

Prescrire l’activité physique chez les personnes âgées hospitalisées

Prescrire des exercices simples adaptés à l’état du patient réduit la durée de l’hospitalisation et le besoin de traitements en réadaptation pendant le séjour, selon une étude publiée dans le Journal of the American Medical Directors Association.

Dès que des personnes âgées sont hospitalisées, elles perdent leur condition physique « parce qu’elles se retrouvent allongées dans leur lit, ou assises sur une chaise », observe Mylène Aubertin-Leheudre, professeure au Département des sciences de l’activité physique de l’Université du Québec à Montréal et chercheuse au Centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal. Suite

L’anxiété n’épargne pas les personnes âgées

Alors que l’anxiété chez les jeunes fait couler beaucoup d’encre depuis quelques années, l’anxiété gériatrique demeure inconnue du public. Pourtant, les symptômes sont bel et bien les mêmes : pensées anxiogènes constantes, incapacité à fonctionner en raison d’un trop grand stress, maux physiques, phobies ciblées, entre autres. Si l’anxiété est le mal du siècle, elle n’épargne certainement pas les membres de l’âge d’or. Suite

Risque de chute chez les personnes âgées atteintes par la maladie d’Alzheimer

Une étude confirme que les personnes âgées atteintes de la maladie d’Alzheimer présentent des troubles de l’équilibre et de la marche et un risque de chute supérieurs à ceux qui ne sont pas atteints par la maladie. Suite

Alzheimer : le régime MIND conserverait les fonctions cognitives

Les aînés qui adhèrent au régime MIND semblent en mesure de préserver leur résilience cognitive, même si les protéines caractéristiques de la maladie d’Alzheimer – plaques amyloides et protéines tau – commencent à s’accumuler dans leur cerveau, indique une nouvelle étude américaine.

Le régime MIND combine des éléments du régime méditerranéen et du régime DASH. Il indique dix aliments qu’on devrait privilégier et cinq qu’on devrait éviter. Suite