Août 2015. Les traitements contre cette affection neurologique entraînent des effets secondaires parfois handicapants.
La maladie de Parkinson se traite bien, mais au prix d’effets secondaires parfois difficilement supportables. Résultat: ils sont la première cause de ruptures de soins, comme le révèle une étude menée par France Parkinson à l’occasion de la Journée mondiale dédiée à cette maladie, le 11 avril.
Une personne malade sur trois affirme avoir déjà interrompu son traitement et dans 45 % des cas cette rupture était liée aux effets secondaires, devant l’aggravation de la maladie, l’apparition d’une autre maladie et un deuil, selon ce sondage.
La L-Dopa qui va rétablir les concentrations en dopamine est bien supportée. Mais son dosage n’est pas toujours bien adapté, d’autant plus que sa durée d’action est faible», explique le professeur Yves Agid, neurologue à l’Institut du cerveau et de la moelle épinière à Paris.
Les agonistes dopaminergiques, autre classe de médicaments également prescrite dans la maladie de Parkinson sont moins fréquemment à l’origine de dyskinésie mais ils ne sont pas pour autant dénués d’effets secondaires.
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Décembre 2014. Près d’une personne sur cinq souffrant de la maladie de Parkinson déclare avoir des comportements addictifs, lorsqu’elle est sous traitement, selon la dernière étude réalisée par l’association France Parkinson. Ces troubles vont de la simple gourmandise à des problèmes de jeux d’argent ou d’hypersexualité.
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