Selon un étude israélienne réalisée sur près de 900 musulmanes âgées de 65 ans et plus, la prière régulière (cinq fois par jour) réduit de moitié le risque de développer des pertes de mémoires associées ou non à une maladie d’Alzheimer, alors que l’effet était nul chez celles priant de façon irrégulière.
La prière apparaît donc un facteur protecteur plus puissant que l’éducation chez la femme. Parmi les facteurs de risque rapportés dans l’étude, notons le sexe (les femmes sont plus touchées que les hommes) l’hypertension le diabète, l’hypercholestérolémie et les antécédents de maladies cardiovasculaires. Selon l’auteur principal de l’étude, l’effet protecteur de la pratique religieuse serait attribuée à l’effort intellectuel fourni.