La perte d’autonomie peut être aggravée par des facteurs physiques (troubles de l’audition, de la vision, effets secondaires de médicaments, neuropathie, etc..), psychologiques (dépression, agressivité, peur, etc.), ou environnementaux (par ex. pièces de maison mal adaptées). L’aidant peu également aggraver son autonomie en étant trop interventionniste. L’aidant doit respecter certaines règles afin d’aider le malade dans sa vie quotidienne.