C’est en général le proche qui, remarquant que son époux(se) a des troubles de mémoire et de comportement, demande une consultation médicale. Le patient à en effet tendance à moins se plaindre que son entourage, ce qui témoigne d’une anosognosie (méconnaissance par l’individu de sa maladie). Le proche doit faire preuve de délicatesse pour convaincre le malade de consulter.